rocky
A propos du journal impudique de la chienne Rocky
Ce qui suit est le début du journal de la chienne Rocky.
Nous n’épiloguerons pas sur les conditions dans lesquelles nous nous sommes rencontrés. Mais d’emblée il m’est apparu qu’elle possédait toutes les qualités et les virtualités qui sont l’apanage des vraies soumises.
Faisant fi des conventions et de toutes bienséances j’ai aimé qu’elle me donne son accord pour relever le défi de la confrontation directe et de l’offrande totale : m’attendre chez elle totalement nue, les yeux bandés et les cuisses largement ouvertes m’exposant d’emblée une intimité qu’il n’est d’usage de découvrir qu’en dernier lieu dans une relation classique homme-femme. Une intimité qu’elle m’avait proposé de mettre en valeur par le port d’un rosebud, témoignant ainsi d’un goût de la mise en scène et de l’esthétisme fort louable !
De mon côté je n’avais qu’une idée assez vague de sa conformation bien qu’ayant reçu d’elle quelques photos très classiques.
Je pénétrais directement chez elle via un escalier étroit et pentu et après avoir gravi les dernières marches je me retrouvai de plain pied avec l’intimité de la chienne que je détaillai précisément, telle une esclave, lui faisant ouvrir un à un ses orifices, que j’éprouvai aussitôt avec mes doigts, avant de lui demander de tirer la langue, avec interdiction de la rentrer avant que je ne lui en ai donné l’ordre.
La voir ainsi offerte, totalement nue, les yeux bandés, la langue sortie était une situation délicieusement obscène et magnifiquement esthétique. Un esthétisme que j’agrémentais ensuite en transformant chacun de ses orifices en supports de chandelier délicieusement immobile.
Mon désir était ensuite de la soumettre à une variété de situations et de pratiques qui puissent me permettre de mieux appréhender les aptitudes et les réactions de la chienne à être humiliée de toutes les manières possibles, voire, les plus obscènes et à déceler ses seuils de tolérance à des pratiques plus physiques voire franchement douloureuses sur toutes les parties de son corps (pinces lèvres et seins, cravache, fessées, gifles, cire alternant avec des glaçons dans ses orifices). Sans omettre également la recherche de tendances plus particulières…
Durant la plupart de ces épreuves la catin avait les yeux bandés. Jusqu’à ce que m’étant avisé de la malpropreté du rosebud qui ornait si joliment son cul je résolus de barbouiller avec l’excédent qui ornait l’engin, son dos, le haut de sa poitrine et même ses joues. Je l’amenais ainsi devant le miroir pour qu’elle y découvre son image de putain souillée de merde. Le bandeau ôté elle ne sembla pas même étonnée de se voir en merdeuse et d’être exposée ainsi à ma vue et à la sienne. Elle me sembla même y prendre un certain plaisir, ce qui ne pouvait que me conforter dans l’idée de la confronter plus encore à ses propres déjections par la pratique d’un lavement que je lui fis exécuter aussitôt… En découvrant cette image de putain soumise Rocky put également découvrir mon image dans le miroir, confrontant ainsi nos regards et nos images qui s’accordèrent d’emblée…J’y vis l’acquiescement à la confrontation future de nos perversités respectives…
Maître C.
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La rencontre...
Journal impudique de la chienne Rocky
Début juin 2008…
Le printemps tarde un peu à faire chauffer les terrasses…mon esprit et mon corps engourdis par un essai d’abstinence de vie sage avec un amant « innocent » s’éveillent progressivement vers ce désir de vie mystérieux et irrépressible qu’est le manque d’un vrai Maître, le besoin quasi viscéral d’endosser encore une fois mon rôle de soumise totale, de trouver plus fort que moi…moi l’orgueilleuse qui fixe de mon regard insolent et provocateur toutes personnes osant me défier et me faire baisser les yeux… Souvenirs de sévices et d’humiliations d’enfance à tout jamais dépassés, analysés, verbalisés et d’en faire une force de plaisir et d’émouvants partages… Une soumise consciente de sa force, de sa sensualité exacerbée, de sa douceur généreuse lorsqu’elle a enfin trouvé Le Maître qui saura la faire plier et trouver Le plaisir tant attendu…jeux de pouvoirs, jeux d’hypnotismes, jeux de mots, jeux de « lâcher prise »…enfin…une respiration tant attendue qui délie les tensions et les freins psychologiques… Un premier contact via un site de rencontre « banal » mais avec deux pseudos qui suffisent à « la reconnaissance »…le mien n’est qu’un jeu de mots à qui voudra bien comprendre accompagné d’une annonce composée d’une phrase de Jean Cocteau : « Tu m’enlèves tout, il me reste tout » et d’un titre de livre ancien de Rodolphe Töpffer : « Voyages en zig zag ». Quelques échanges épistolaires…la recherche conjuguée et reconnue dans des désirs annoncés sans minauderie… le désir de se rencontrer lors d’un déjeuner semble être une première approche conventionnelle…classique… Nous faisons rapidement « fi » de cette première banalité et transformons ce rendez vous par un déjeuner chez moi…à l’aveugle… Prises de risques maximales pour moi, mais c’est aussi ce que j’aime…depuis toujours…
L’intuition me porte et je me fais confiance…à tort peut être…les paradoxes n’existent-ils pas pour « jouer » avec et positionner les « curseurs » à leur juste place du moment…
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Présentation de la chienne
6 juin 2008
Déjeuner chez moi…simple et froid… Il m’a dit qu’il aimait déjeuner « léger »… je pense surtout à des plats qui peuvent attendre … quelques bougies placées ici et là… test de lumières douces…cravache posée sur un fauteuil à sa demande, matériel présenté sur le canapé de façon esthétique et harmonieuse…je place et déplace, prends du recul face à cette présentation du peu de matériel que j’ai ressorti de mes placards, si minutieusement cachés…une cravache, un stick d’équitation, une paire de menottes cou-poignets à scratch, un collier rouge et sa laisse, une corde de bondage noire, deux bougies rouge et noire à faible température, deux martinets ridicules, un gode vibrant de taille « standard »…c’est bien peu…je me sens telle une soumise de pacotille et d’opérette…je sens que celui qui vient est d’un autre niveau…bien supérieur au mien… Je regarde ma montre…encore quelques minutes… la tension monte, j’ai mal au ventre, serai je à la hauteur de son attente, je vais vérifier mille et une fois mon corps dans le miroir, mon sexe et mon anus rasés de près, je me contorsionne en écartant mes fesses pour voir mon rosebud enfoncé dans mon cul qui palpite déjà…je sens l’humidité de ma chatte face à cette attente…je suis déjà excitée…chienne que je suis…« Petite messe solennelle » de Rossini, je choisis le morceau qui m’émeut le plus, comme un repère de ce que je suis…mélomane, sensible, curieuse et souvent étonnante dans mes choix musicaux. L’heure annoncée arrive…je n’ai pas peur, je suis dans le défi de me présenter comme il m’a ordonnée d’être à son arrivée : Une putain nue,un bandeau sur les yeux, à quatre pattes, jambes écartées le plus possible afin que sa première vision soit mon cul ouvert à l’extrême, rosebud offert, ma chatte et mes lèvres déployées…et humides… Je contrôle ma respiration ventrale et j’attends…j’attends…une minute, deux minutes…toujours rien…je suis une chienne qui attend son maître,haletante de désir et de plaisir à l’idée de sa venue… Enfin, la porte laissée entrebâillée se referme, des pas qui gravissent mes 25 marches…je les compte dans ma tête… Je Le sais arrivé…j’entends une appréciation sur cette vision de pute que je suis, sur cette position de chienne qui lui sied…ouf… IL est là…mais qui est là ? est- ce celui avec qui j’ai échangé ou un autre… Prise de risques à son maximum…Mon cœur bat à tout rompre et je cambre encore plus ma croupe pour l’offrir à celui qui me mâte sans scrupule…je suis auscultée, palpée, caressée, jaugée toujours bandée, dans l’obscurité et le mystère. -« Tu mouilles petite salope…tu aimes ouvrir ton cul de putain et ta chatte trempée… » -« Oui, Monsieur » -« Comment ?parles plus fort !petite pute ! » Ma voix se fait plus sûre... il veut que je parle fort, alors il va voir ce qu’il va voir. J’articule et parle distinctement : -« OUI, MONSIEUR, J’AIME MOUILLER ET OUVRIR MON CUL DE SALOPE » Je sais que tout manquement de respect est puni…soit par le Maître, soit Il me laisse choisir ma punition… Tous mes sens sont en éveil, d’une réactivité folle…tension des sens, tension du corps…rester soi même et susciter SON désir…tout en restant sur mes gardes…je me connais trop bien et suis réactive à la provocation…Il le sait et saura bien en jouer… méfiance , je ne sais toujours pas à qui j’ai à faire… Le cuir du collier épouse alors mon cou, cliquetis de la boucle…la laisse en prolongement par son mousqueton…je fais un « tour de piste » telle une chienne que l’on montre à la foire… Je n’entends que SA voix…elle me plaît et me rassure…les ordres sont donnés avec fermeté et douceur… -« Allez, marche petite chienne, fais le tour de la pièce...Non, plus grand le tour… ». J’ai peur de perdre mon rosebud, je serre les fesses en marchant, par chance il ne tombe pas...je le sais très léger mais je le sens encore enfoncé dans mon cul… -« Veux tu me voir à présent, petite putain, souhaites tu ôter ton bandeau ? » -« Non merci, Monsieur, j’aimerai le garder encore un peu » Un nouveau défi, je me sens fière d’avoir répondu et mon courage se renforce… Il revient sur son fauteuil et m’indique quelle doit être ma présentation : Allongée sur le dos, tête par terre…jambes tendues et ouvertes, très ouvertes le plus haut possible…rosebud et cul offert à SA vue, sexe ouvert, lèvres déployées… - « Telle sera la présentation que je te demanderai à l’avenir » - « Bien, Monsieur » Nous y sommes…j’y suis…mon cœur retrouve ses battements d’adrénaline connus et reconnus…la joie aussi…mes mains glissent sur mon cul, je suis transpirante d’émotion et d’excitation…garder mes jambes ouvertes et tendues n’est pas facile et je m’efforce de tenir le plus longtemps possible…je compte dans ma tête pour m’aider à tenir… Félicitée par un ordre de me soulager de cette position, je me remets à quatre pattes…position ô combien plus confortable… Je sens alors le souffle de la cravache rafraîchir mon dos, mes fesses, mon cou…les coups sont portés, précis,réguliers, progressifs, jaugeant mon endurance… IL sera fier de moi… IL me voudra comme chienne… IL aura du plaisir… Puis, sans m’en rendre compte la cravache fait place au stick…le coup cingle sur mon dos, puis un autre sur mes fesses… -« AH NON, MONSIEUR … PAS LE STICK S’IL VOUS PLAIT, CELA FAIT SI MAL…AURAI JE COMMIS UNE ERREUR ? ». -« S’il est là, n’est ce pas pour que je m’en serve petite imprudente ? » -« Merde, pourquoi l’ai-je posé sur le canapé…je n’aurai pas dû le présenter…bien fait pour toi, espèce de frimeuse… ». Ma récompense sera de voir SON visage, SON sourire, c’est bien LUI vu en photo miniature. De sa main, il ouvre sa braguette et libère son sexe tendu…je suis à genoux, j’ouvre ma bouche de pute et goûte pour la première fois ce sexe bandé au gland rouge et frémissant… Sa peau est douce, les veines saillantes, ma langue explore, je suis une goulue, je l’enfonce au fond de ma gorge… J’aimerais rester ainsi pute pipant, pute juste bonne qu’à faire une fellation…et à faire juter ce sperme sur mon corps, dans ma bouche et l’avaler tel un délice gourmand… Je sens salope, roulure, putain, chienne qui aime donner du plaisir extrême… J’aime cette sensation d’être remplie par l’autre, qui de sa main attrape mes cheveux et m’ordonne SON rythme…à moi de le suivre et de sortir ma langue de chienne le long de sa verge, l’arrondir autour de ses couilles, les aspirer délicatement jusqu’à en avoir « la bouche pleine »… Je pourrai me nourrir de sa bite et de ses couilles, de larges coups de langue sur son anus, y enfoncer la pointe dans son cul… Désir qui me fait saliver par tous mes trous, je ne suis qu’une chienne excitée qui n’attend que les ordres de son Maître… Il m’ordonne, alors, de nettoyer ses chaussures poussiéreuses afin qu’elles redeviennent brillantes… Je sors ma langue et lèche goulûment l’arrondi de sa chaussure droite puis je continue par les côtés vérifiant que la poussière à disparue…je m’applique encore plus pour la seconde…c’est vrai qu’elles sont sales ses chaussures, la salive me manque comme absorbée par la poussière…je reprends mon souffle et je lèche et lèche à nouveau sentant ses lacets sur ma langue… Je veux que ses chaussures brillent encore plus que si j’utilisais du cirage…c’est moi, le cirage, c’est moi, le chiffon, mes cheveux et mes joues serviront de brosse… A cette pensée, mes yeux s’emplissent de larmes de bonheur…quel honneur de nettoyer ses chaussures… -« Tu es une bonne petite putain » -« Merci Monsieur » et je souris à ce compliment tant attendu… Le déjeuner se passe agréablement, nous faisons connaissance progressivement…nous restons nus…mes jambes ne se croiseront jamais…j’ai encore l’autorisation de regarder Monsieur… Le temps est passé si vite…nous devons nous séparer alors qu’une vague de tendresse m’envahit…j’ose passer ma main dans son cou et y déposer un baiser… -« Il me serait agréable de continuer…tu en as envie petite pute, je te sens chaude et tes yeux brillent de désir…hélas, il est temps que je parte… » Des remerciements conjugués de baisers à m’arracher les lèvres qui se gonflent de sang…nos regards se croisent, mes yeux ne peuvent cacher ce plaisir d’être mordue… Tendresse, volupté, goût de l’autre, envie de continuer, de se revoir…
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Premières recommandations et ordres de mon Maître à sa chienne Rocky
Premières recommandations et ordres de mon Maître à sa chienne Rocky
.1. Toujours ton cul tu laveras ou sinon lavements abondants tu feras devant moi et fontaine à merde tu deviendras…
.2. Obéissance, respect et humilité tu adopteras devant ton Maître car ton insolence te perdra et cravache tu mériteras…
.3. Ta demande de devenir la soumise de ton Maître devra être effectuée l’esprit clair et la tête reposée…une semaine de réflexion te sera imposée afin que ta demande et ta présentation soient soignées et émouvantes…
.4. Trousseau de chienne tu complèteras, collier tu choisiras, robes et corsets tu achèteras…un compte rendu de ces achats par mail tu me feras…
.5. Exactitude et ponctualité tu auras lors de nos rendez vous, et si retard il y a, forte punition tu choisiras pour toi…
.6. Aux goûts de ton Maître tu veilleras et ce qu’il aime tu achèteras…
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Magique mardi…..mi-juin…
Magique mardi…..mi-juin…
Seconde rencontre avec Monsieur…mais il avance l’heure du rv….branle bas de combat, j’ai une demie heure de moins… La bâche est étendue sur tout le sol à la demande de Monsieur. Le déjeuner est prêt… La musique et les bougies aussi… Ma position d’accueil sera plus difficile cette fois…je sens que c’est encore une épreuve, un test pour voir de quoi est capable cette petite pute qui se veut chienne pour Lui… Accroupie, cuisses très écartées, mains derrière la tête, chatte ouverte et humide, gode enfoncé dans le cul au trois quart de sa longueur… Je ne peux rester très longtemps ainsi et Monsieur a la grande délicatesse de me prévenir via un sms de son arrivée…mais pour être vraiment prête au moment « T », je me balade le gode dans le cul à parfaire les dernières préparations… il glisse et je prévois un dictionnaire pour bien l’immobiliser lorsque je serai en position…c’est trop nul et inesthétique mais je ne vois pas comment faire autrement…tant pis… La porte se referme, Il arrive…vite, vite, en position…impeccable et fière malgré le déséquilibre de mes chevilles et les tremblements de mes jambes…je respire et ’jattends… Mes yeux ne sont pas bandés…mais mon clitoris lui, ne se gêne pas pour saillir… D’un sourire satisfait, Monsieur s’assoit sur le fauteuil et me demande de m’approcher tout près de lui afin de poser mes fesses bien à plat le sol afin que le gode s’enfonce encore plus dans mon cul de chienne… Grimace de douleur… je sens mon gode pénétrer de plus en plus profond dans mon cul et mon ventre se fait douloureux…je suis trop fière pour renoncer… je sais aussi que mon gode sera souillé de ma merde car je n’ai pas procédé à un lavement anal… je m’attends donc à des reproches mais aussi à des jeux que j’aime et que je redoute aussi…quelles seront les idées de Monsieur… Puis, toujours le gode en cul (avant qu’il ne soit en bouche), je me prosterne devant Monsieur pour lui nettoyer ses chaussures…puis, ses pieds, ses orteils… il sait que je suis une chienne appliquée et perfectionniste. Je sors ma langue mouillée et je rafraîchis les pieds de Monsieur par des coups de langue tantôt doux et onctueux, tantôt plus appuyés et insistants entre les orteils et les plantes de pieds. Monsieur semble aimer ces différences et pour me remercie par une caresse sur ma tête… ma croupe qui se relève automatiquement…le réflexe de la pute qui en demande encore plus alors qu’elle doit attendre le bon vouloir de Monsieur… J’ai alors l’honneur d’engloutir au plus profond de ma gorge le sexe bandé et appétissant qui m’est présenté comme une récompense… Sortir ma langue pour pousser encore plus au fond ce sexe jusqu’au « haut le cœur »…sentir la peau douce et fine du gland, pomper de mes joues afin d’effectuer des va et vient, laper les couilles, les foutre dans ma bouche, les aspirer à la limite de l’étouffement…les larmes d’émotions et de reconnaissance montent et j’aime sentir cet instant de confusion entre l’excitation sensuelle et l’émotion du cœur et du corps…je pousse des soupirs de goulue à en redemander encore et encore… -« Tu aimes sucer ma bite, petite salope, n’est ce pas ? » - « Oui, Monsieur » arrive à articuler cette putain que je suis à ne pas vouloir sortir ma bouche de son sexe… Je suis à quatre pattes, chienne offerte à la vue de Monsieur…je sens avec effroi mon gode sortir de mon cul…il est sale, plein de ma merde, il pue et j’en pressens de l’utilisation pour tout à l’heure… Je me couche sur le bar, jambes pliées et totalement écartées, livrée aux décisions, aux envies, aux pénétrations multiples de doigts, de mains, de pinces,de glaçons, de godes, de speculum… Je suis trempée de plaisir, d’excitation, ’impatience….je coule comme une fontaine… Je me laisse prendre, ausculter, fouiller par tous les trous, cul, sexe, bouche…intromissions répétitives qui ne font qu’augmenter mon plaisir et mon désir de jouir… Le test de l’endurance se prolonge et s’amplifie, je jouis sur commande, je me retiens sur commande, je pisse sur commande…mon cul, ma chatte répondent à Monsieur, je me sens si merdeuse, pisseuse…à sa merci, à son plaisir, à son désir, à ses ordres… Monsieur enfonce ses doigts, puis sa main dans mon sexe de pute…si je suis une bonne salope et fière de l’être, mon corps doit s’ouvrir encore et encore davantage aux plaisirs de Monsieur…mais soudain, la douleur fait place au plaisir et j’ai l’impression que mes lèvres vont éclater et se déchirer.
Mon corps dit « stop »…je lutte pour ne pas l’entendre…je veux tester mes limites, je veux aller encore et encore plus vers le plaisir de Monsieur et ne pas le décevoir… Puis, je baisse les armes et prononce le mot qui me fait tant honte : « Pitié, Monsieur »…le geste s’arrête immédiatement… Je respire violemment pour contenir ma honte d’avoir « failli » au fist tant espéré, tant fantasmé…mes larmes glissent sur mes joues… Monsieur est à l’écoute de mon corps et de mes mots, j’en suis touchée et émue…quelle tendresse dans ces caresses et ses paroles pour adoucir ma douleur…ma tristesse de n’avoir pas su, pas pu dépasser mes limites cette fois-ci… Me voici alors barbouillée de merde, Monsieur tel un peintre maquille mon visage et mon corps. Le gode sera son pinceau, ma merde ses pigments et mon corps, la toile de Monsieur… Monsieur est un artiste…il sait aussi conjuguer esthétiquement marques régulières et parallèles de martinet, de cravache et de volutes merdeuses…mon corps est à lui, je lui offre tout entier pour ses plaisirs et les miens… Une pause est nécessaire…les glaçons ont fondu aussi bien dans mon cul que dans ma chatte de pute…je ne pourrai pas les sucer, mon corps les a déjà bouffés avec avidité… Mon insolence reprend vie…attention putain, tu vas le regretter… L’ordre de Monsieur d’aller chercher une cuvette qui se trouve être une corbeille à papier en plastique pour pisser et chier devant lui… Fière, je me lève le cul cambré et provoquant…j’ai envie de le satisfaire immédiatement pour retrouver son estime que je crois perdue… Assise sur les bords coupants de la corbeille, jambes écartées, coudes sur mes cuisses, sexe et cul douloureux… je m’exécute…je pisse, je chie ce qu’il reste de mon sale corps de chienne prétentieuse… Monsieur vient alors près de moi et me fait l’immense cadeau de son urine chaude et jaune sur mes seins, sur mon visage, sur mon sexe… -« Bientôt tu aimeras tout ce qui vient de Moi…mes odeurs, mes goûts…n’est ce pas sale putain ? » -« Bien Monsieur, oui, Monsieur, merci Monsieur » Il se branle alors avec délice devant mes yeux et ma bouche ouverte accueille ce jus blanc et crémeux qui jaillit sur ma gueule et mes mamelles tendues et pointues comme une chienne avide de gourmandises. J’aurai envie de « donner la papatte » à Monsieur mais je ne suis pas encore assez bien dressée et ne peux prétendre à ce geste sans son accord et son ordre… Mélange d’odeurs, de goûts, de couleurs sur mon corps, je m’enivre de ces sensations tour à tour piquantes, impressionnistes, sucrées, salées et fauves…
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